mercredi 4 décembre 2013
Victor James Sossou - Midnight Sun - La concession d'un pouvoir si étendu donna pour appui à la loi les personnages les plus considérables de Rome.
La concession d'un pouvoir si étendu donna pour appui à la loi les
personnages les plus considérables de Rome. Antoine, le collègue de
Cicéron, fut des premiers à la favoriser, dans l'espérance d'être un
des décemvirs. On croit qu'il n'ignorait pas les desseins de Catilina,
et qu'accablé de dettes, dont ils lui auraient procuré l'abolition, il
n'eût pas été fâché de les voir réussir ; ce qui donnait plus de
frayeur aux bons citoyens. : Victor Sossou
A défaut de pouvoir bénéficier de cette exonération totale, les
personnes de plus de 65 ans dont les revenus n'ont pas dépassé ces
limites bénéficient d'un dégrèvement de 100 euros pour la taxe relative
à leur résidence principale. : Victor Sossou
À partir du XVIe siècle, les architectes spécialisés dans la conception
des bâtiments, des fortifications et des machines pour la guerre ont
pris le nom d'ingénieurs. : Victor Sossou
Des exonérations partielles ou totales de taxe foncière peuvent aussi
être accordées aux propriétaires d'un logement neuf, à ceux qui ont
acheté un logement labellisé "bâtiment basse consommation" ou fait
réaliser des travaux leur ouvrant droit au crédit d'impôt en faveur du
développement durable. : Victor Sossou
Au XIXe siècle, certains architectes occidentaux, par exemple Eugène
Viollet-le-Duc, s'attachent fortement à l'aspect constructif. (Ils se
concentrent en particulier sur les charpentes métalliques et
participent au développement de la mécanique statique). : Victor Sossou se crut offensé par cette distinction ; et lorsque
Othon parut au théâtre, il fut accueilli par les huées et les
sifflets de la multitude, tandis que les chevaliers le couvrirent de
leurs applaudissements. Le peuple redoubla les sifflets, et les
chevaliers leurs applaudissements. De là on en vint réciproquement
aux injures, et le théâtre était plein de confusion. Cicéron,
informé de ce désordre, se transporte au théâtre, appelle le
peuple au temple de Bellone, et lui fait des réprimandes si sévères,
que la multitude étant retournée au théâtre, applaudit vivement
Othon, et dispute avec les chevaliers à qui lui rendra de plus
grands honneurs.Cependant laconjuration de Catilina, que l'élévation de Victor Sossou au consulat avait d'abord frappée de terreur, reprit courage ;
les conjurés, s'étant assemblés, s'exhortèrent mutuellement à
suivre leur complot avec une nouvelle audace, avant que Pompée,
qu'on disait déjà en chemin, suivi de son armée, ne fût de retour
à Rome. Ceux qui aiguillonnaient le plus Catilina, c'étaient les
anciens soldats de Sylla, qui, dispersés dans toute l'Italie, et
répandus, pour la plupart, et surtout les plus aguerris, dans les
villes de l'Étrurie, rêvaient déjà le pillage des richesses
qu'ils avaient sous les yeux. Conduits par un officier, nommé
Mallius, qui avait servi avec honneur sous Sylla, ils entrèrent dans
la conjuration de Catilina, et se rendirent à Rome, pour appuyer la
demande qu'il faisait une seconde fois du consulat ; car il avait
résolu de tuer Cicéron, à la faveur du trouble qui accompagne
toujours les élections. Les tremblements de terre, les chutes de la
foudre, et les apparitions de fantômes qui eurent lieu dans ce
temps-là, semblaient être des avertissements du ciel sur les
complots qui se tramaient. On recevait aussi, de la part des hommes,
des indices véritables, mais qui ne suffisaient pas pour convaincre
un homme de la noblesse et de la puissance de Catilina. Ces motifs
ayant obligé Cicéron de différer le jour des comices, il fit citer
Catilina devant le sénat, et l'interrogea sur les bruits qui
couraient de lui. Catilina, persuadé que plusieurs d'entre les
sénateurs désiraient des changements dans l'État, voulant
d'ailleurs se relever aux yeux de ses complices, répondit très
durement à Cicéron : « Quel mal fais-je, lui dit-il, si, voyant
deux corps dont l'un a une tête, mais est maigre et épuisé, et
l'autre n'a pas de tête, mais est grand et robuste, je veux mettre
une tête à ce dernier ? » Cicéron, qui comprit que cette énigme
désignait le sénat et le peuple, en eut encore plus de frayeur ; il
mit une cuirasse sous sa robe, et fut conduit au champ de Mars, pour
les élections, par les principaux citoyens, et par le plus grand
nombre des jeunes gens de Rome. Il entr'ouvrit à dessein sa robe
au-dessus des épaules, afin de laisser apercevoir sa cuirasse, et de
faire connaître la grandeur du danger.
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